On peut manger une baguette trempée dans du Nutella à chaque repas, et les coutures des vêtements tiennent bon.

Le calcul présenté ci-dessous constitue une base simplifiée, destinée à fournir une estimation moyenne des besoins énergétiques du corps. "Utilisez" cette formule comme un vêtement taille unique : ça peut convenir à pas mal de monde, mais ce n’est jamais parfaitement ajusté.

Avant de parler de calories ou de besoins énergétiques, commençons par une question simple : qu’est-ce que signifie réellement «être actif» ? Le mot est partout, mais soyons honnêtes, il reste un peu flou.

Eh oui, comme si le corps des femmes n’était pas déjà un casse-tête hormonal, voilà que les besoins énergétiques varient aussi au fil du cycle ! En particulier durant la phase lutéale (après l’ovulation), la température corporelle augmente légèrement, et le corps brûle un peu plus d’énergie. Parfois, on a l’impression que le corps nous réclame des snacks en douce, juste avant les règles. Personnellement, à ce moment-là du mois, je me transforme en "puits sans fond" :

Le poids de forme, c’est comme dénicher la paire de chaussures parfaites : celle que l’on n’est jamais pressé de retirer, idéalement ajustée, et qui ne fait pas souffrir nos doigts de pieds après une longue journée. C’est le poids qui vous permet de vous installer confortablement dans votre jeans préféré, sans que cela ressemble à un combat de sumo. Et surtout, c’est un poids où vous vous sentez bien, sans avoir à compter chaque grain de riz ni devenir l’ami intime du tapis de course. En prime, il vous assure d’être en bonne santé, avec de l’énergie pour attaquer votre journée et profiter de vos activités sans vous sentir épuisé après deux pas. Le poids de forme, c’est celui qui vous permet de manger une pizza entière sans ressentir le besoin de courir un marathon en guise de dessert ! C’est celui qui vous laisse la savourer, sans vous angoisser.